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Le geste le plus simple pour sauver la biodiversité, bannir le plastique

Le geste le plus simple pour sauver la biodiversité, bannir le plastique

Si le réchauffement climatique a longtemps été vu comme le principal risque écologique, une notion presque plus importante s’est imposée ces dernières années, l’importance de la biodiversité. Avec une espèce sur trois menacée d’ici la fin du siècle, ce sont tous les cycles écologiques et les pyramides alimentaires qui en seraient modifiés. Si les polluants et les insecticides ont bien évidemment été pointés du doigt, un autre produit en apparence tout à fait anodin est depuis largement accusé : le plastique. Certains n’hésitent d’ailleurs pas à le considérer comme un »tueur de masse », alors qu’il existe des solutions simples pour supprimer le plastique du quotidien, ou réduire considérablement son impact.

Et si bannir la bouteille plastique, c’était donc aussi sauver des vies ? Et les nôtres ?

Le plastique, enjeu majeur de la biodiversité et du développement durable

En 2018, dernière année vraiment significative, la production annuelle mondiale de plastique avait atteint le chiffre record de 359 millions de tonnes, soit plus de 47 kg par habitant. La France se situe même au 3ème rang des consommateurs européens. S’il est vrai que le plastique a accompagné la révolution économique de l’après-guerre, les chiffres actuels ont pourtant de quoi faire frémir : on a synthétisé plus de plastique depuis l’an 2000 que durant les 50 années précédentes, dans une course qui semble désormais hors-de-contrôle. C’est une vraie aberration écologique, puisque la majorité de ce plastique est destiné en réalité aux emballages à usage unique, et qu’une partie importante est même relarguée dans la nature, où il lui est alors impossible de se bio-dégrader.

Quels sont les dangers du plastique pour l’environnement ?

La principale victime du plastique reste sans nul doute les océans et l’écosystème marin. Plus de 7 millions de tonnes finissent tous les ans à l’eau et s’accumulent en quantité, si bien que la masse totale de plastique dans les océans serait 6 fois plus importante que celle du zooplancton. C’est ainsi que ce sont formés un 6ème voire un 7ème continent de plastique, avec deux vortex de déchets principaux, le Vortex de déchets de l’Atlantique Nord dans la Mer des Sargasses, et le Vortex de déchets du pacifique Nord, au niveau de la latitude des Chevaux (30-35° Nord). Ces soupes plastiques sont l’image visible d’une pollution marine sans pareil, qui menace la vie marine et notre propre santé. A ce jour, on a mis en évidence des cas d’enchevêtrement avec du plastique dans plus de 270 espèces et des cas d’ingestion souvent mortelle recensés sur 240 espèces. La mobilité de ces déchets plastiques, leur couleur, leur mouvement, leur taille, font qu’ils peuvent toucher de nombreuses espèces, des plus petites comme les vers marins, les crustacés, les coquillages, les méduses, le zooplancton, aux plus grosses, comme les baleines, les dauphins, les otaries, les oiseaux de mer ou les tortues. Une fois ingérés, ces déchets peuvent non seulement tuer, mais aussi poursuivre leur action destructrice, en repassant par la chaine alimentaire, via le système digestif de nouveaux prédateurs ou dans les selles. Sachant qu’il faut près d’un siècle pour être dégradé, on comprend pourquoi un simple bout de bouteille plastique peut devenir une arme de destruction massive à effet exponentiel. Sans réelle biodégradation, les plastiques se fragmentent alors par usure en micro-plastiques qu’on retrouve en grande quantité sur les animaux filtrant l’eau de mer, comme les coquillages, ou dans des micro-organismes comme les algues. Si bien que nous finissons souvent par les réingérer à travers notre alimentation. Les effets néfastes sur la fertilité, le développement ou le métabolisme sont aujourd’hui parfaitement identifiés, si bien que le déchet plastique est devenu un enjeu de santé publique mondial, avec de véritables plans de lutte contre la pollution plastique en milieu marin. Mais pour beaucoup de spécialistes, c’est encore insuffisant, d’autant que le recyclage du plastique est loin d’apporter encore une réponse suffisante.

Le recyclage du plastique, mythe ou réalité ?

Un seul chiffre permet de montrer le faible impact du recyclage du plastique, puisque seul 9 % du plastique serait recyclé à l’échelle mondiale. Certes, des pays comme la France affichent des résultats supérieurs, mais faut-il pour autant s’en réjouir ? Non, pour au moins deux raisons. Un déchet recyclé est d’abord un déchet et il a donc un coût pour la planète. D’autre part, une partie non négligeable du plastique utilisé puis jeté dans les pays du Nord est exportée pour recyclage dans les pays du Sud, ce qui induit donc un vrai coût en termes d’énergie et de bilan carbone. C’est un palliatif, mais certainement pas une solution durable, d’autant que ce recyclage va accroitre aussi un autre effet négatif des déchets plastique, dans un vrai cercle vicieux : l’accélération du réchauffement climatique…

Comment le plastique accélère le réchauffement climatique ?

Car si recycler le plastique est en soi une idée séduisante, elle amène de suite à poser la question du bilan carbone et du bilan écologique sur le cycle de vie complet des plastiques. Il faut d’ailleurs garder à l’esprit que le plastique est issu du pétrole, et donc d’une énergie fossile appelée à disparaître : comment faire quand des experts estiment qu’au rythme actuel, la production de plastique engloutira la moitié de la production de pétrole en 2050 ? Des études ont parfaitement mis en évidence le coût caché du plastique sur notre climat, en estimant que sa production et son incinération équivalaient chaque année à 189 centrales à charbon. Pire, la seule production de plastique représenterait 13% de l’effort carbone demandé par les accords de Paris ou le GIEC. Si le recyclage est une solution pratique et nécessaire à court-terme , elle n’est donc pas une solution de long-terme, ramenant au viel adage comme quoi le meilleur déchet est toujours celui qu’on ne produit pas.

Comment réduire les déchets plastique ?

On parle fréquemment d’écologie punitive, c’est pourquoi il est logique de s’emparer au contraire des gestes écologiques qui ne coûtent rien. Mieux, certains, comme supprimer les déchets plastiques, rapportent ! D’abord au consommateur éco-responsable en faisant des économies ; mais aussi au citoyen actif qui veut apporter sa contribution au développement durable.

Comment réduire ses déchets plastique en collectivité ou en famille ?

Si de vrais efforts législatifs ont déjà été faits autour des gobelets pour le café ou des touillettes en plastique, l’autre point d’amélioration porte désormais sur les bouteilles d’eau en plastique. Si la récente pandémie a redonné un peu d’importance aux petites bouteilles en plastique dans le monde du travail, la tendance naturelle est de les supprimer pour les remplacer totalement par une fontaine à eau.

Que ce soit pour un usage familial, en milieu professionnel ou en milieu associatif, la fontaine à eau comme le modèle EVA présente un double avantage sur une eau en bouteille : Elle permet des économies importantes, car elle utilise l’eau du robinet, avec une cartouche filtrante nécessitant un entretien a minima. Elle offre une eau de meilleure qualité, en la purifiant et en donnant une eau sans métaux lourds ou autres perturbateurs métaboliques. Elle est donc à la fois bonne pour la santé, bonne pour le portefeuille et bonne pour la planète : difficile de s’en passer quand est un citoyen moderne et investi !

Fontaine EVA en Verre

Où acheter la Fontaine EVA ?

Tous les modèles des fontaines EVA sont disponibles sur la boutique Arche de Néo

 

Comment réduire ses déchets de bouteille plastique à la maison ou en déplacement ?

Pour beaucoup, la petite bouteille plastique garde encore un intérêt lors de déplacements, pour voyager, prendre les transports en commun ou faire du sport. Mais outre son bilan écologique désastreux, mieux vaut ne pas s’amuser à calculer le prix au litre, qui peut atteindre jusqu’à 500 euros le m3, contre 2 à 5 euros pour l’eau du robinet ! C’est pourquoi de nombreuses familles optent d’ailleurs pour la fontaine à eau, qui permet des économies se montant jusqu’à 700 euros par an pour une famille de 4 !

Dans le même esprit d’économies et d’écologie, il faut progressivement bannir la bouteille plastique en déplacement, et opter pour un contenant réutilisable, sain et de qualité. Une gourde inox est la solution idéale, même pour le sport, car elle procure de nombreux avantages : -son inox alimentaire 18/8 est complété par un bouchon anti-fuites en silicone sans produit toxique type bisphénols ; c’est la certitude d’avoir une eau pure et saine. Son inox épais conserve le frais jusqu’à 8 heures, ou même 24 heures pour une gourde isotherme, là où l’eau d’une bouteille plastique se réchauffe en moins d’une heure en devenant mauvaise. Il est d’ailleurs prouvé que des températures élevées, comme une bouteille placée derrière une vitre en plein soleil, peuvent favoriser la libération de particules nocives dans l’eau, ce qui est impossible avec une gourde en inox. Son inox résistant est à la fois solide et léger, sans risque de rouiller, garantissant une facilité à l’emploi et au nettoyage.

Gourde Inox

Une seule gourde écologique permet d’économiser facilement 500 petites bouteilles par an et par personne.

Quoi de plus simple et de plus valorisant finalement, pour éviter de polluer un peu plus nos océans et favoriser le bien de tous ?

Où acheter la gourde Pura ?

Tous les modèles des gourdes inox Pura sont disponibles sur la boutique Arche de Néo

 

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